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Immobilier : quand acheter neuf coûte à peine plus cher que dans l'ancien !

Les prix dans le neuf sont à peine plus élevés que dans l'ancien

À Paris, Lyon et Bordeaux, le prix d’un appartement neuf est à peine supérieur à celui d’un logement ancien. Une particularité qui s’explique facilement, et qui rend l’achat en VEFA encore plus attractif dans ces métropoles en proie à une forte tension immobilière. 

Le neuf, une mine d’avantages

Une facture énergétique nettement inférieure, une luminosité revigorante, une surface optimisée où chaque mètre carré a son importance, une sécurité garantie par un accès via digicode ou visiophone, une place de stationnement voire un box privatif en sous-sol… Une résidence neuve offre tout cela à un acquéreur, et elle lui fait grâce des mauvaises surprises que peut réserver un bien ancien. Pas de travaux à prévoir, pas de rafraîchissement ni de rénovation qui viendrait alourdir le prix d’achat ! Même les frais de notaire sont réduits, et l’aspect extérieur possède aussi son charme contemporain en comparaison à certains immeubles anciens qui ne peuvent pas tous se targuer d’une allure haussmannienne… Les avantages du neuf sont connus et ils ont un prix, généralement supérieur d’au moins 20% à celui d’un bien équivalent dans le parc immobilier ancien. 

Des territoires en proie à une flambée des prix

Cet écart de prix entre neuf et ancien n’est toutefois pas gravé dans le marbre. SeLoger a ainsi révélé un gap nettement plus faible dans certaines villes, notamment les grandes métropoles les plus attractives. Un logement neuf ne coûte que 4% plus cher qu’un appartement ancien à Paris. À Bordeaux, l’écart n’est que de 7%, à Lyon il plafonne à 8%. Pourquoi une telle situation pour ces villes ? Cela tient autant à leur propre dynamique de hausse des prix qu’au délai de construction d’une résidence neuve. Concrètement, sur ces marchés où les tarifs ont augmenté à vitesse grand V ces dernières années (+35,5% en cinq ans à Paris, +34,2% à Bordeaux et +42,9% à Lyon dans le même temps), le prix d’un bien en VEFA se base sur un coût du foncier antérieur d’environ 24 mois à la date de la transaction, ce qui permet à l’ancien de « rattraper » son retard » et au neuf d’être d’autant plus attractif. 

Le PTZ renforce l’intérêt du neuf

La mise à l’arrêt du marché immobilier due à la crise sanitaire a freiné l’achat dans le neuf et par conséquent le recours au PTZ (prêt à taux zéro). La reprise devrait s’annoncer plus que positive, d’abord car les banques réouvrent progressivement et vont être désireuses d’octroyer des prêts immobiliers. Ensuite parce que malgré la légère remontée des taux du prêt immobilier, les conditions restent toujours intéressantes en raison du niveau bas des taux du crédit immobilier (1,17% en moyenne d’après l’Observatoire Crédit Logement/CSA en avril). Ajouter à cela les prix des biens immobiliers neufs à peine plus cher que dans l’ancien. Le marché de l’immobilier neuf devrait alors reprendre de plus belle après le déconfinement et le prêt à taux zéro sera certainement un levier majeur pour cette reprise. En effet, le PTZ attire les emprunteurs et les pousse à concrétiser leur projet d’achat parce qu’il leur permet de réduire le coût total de leur financement.

 

Posté le 25 Mai 2020 © Guide du crédit

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