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Marché ancien : la hausse des prix continue

Hausse des prix de l'immobilier ancien

Toujours pas de baisse des prix à l’horizon pour le marché de l’immobilier ancien. Pire, la pénurie de biens à vendre renforce le déséquilibre entre offre et demande et maintient la courbe des prix orientée à la hausse comme le souligne le baromètre LPI-SeLoger à fin octobre.

 

 

Les maisons prennent de la valeur

Le prix au mètre dans l’ancien a encore progressé de 5,9% sur un an en octobre d’après le baromètre LPI-SeLoger. Il atteint désormais 3 861€ en moyenne, mais la hausse est plus forte encore pour les maisons (3 365€/m², +6,3%) que pour les appartements (4 323€/m², +5,6%). Cela valide l’intérêt grandissant des citadins pour les logements dotés d’un extérieur depuis le confinement, phénomène que la deuxième vague de Covid-19 pourrait renforcer dans les prochaines semaines ! Dans la métropole de Rennes, cette tendance est encore plus marquée avec une hausse des prix des maisons de 14,9%, mais même la métropole du Grand Paris observe une progression plus rapide pour ses maisons (+8,6%) que ses appartements (+3,3%). La métropole lyonnaise ne s’inscrit pas dans ce mouvement, de même que celles de Nantes et Lille. Il n’y a toutefois que dans l’Eurométropole de Strasbourg que le prix des maisons recule (-0,4%) quand celui des appartements explose (+7,4%). 

L’offre s’assèche sérieusement

Avec l’attractivité des maisons, la montée des tarifs dans l’ancien est plus homogène que dans la période pré-Covid-19. Il faut dire que le contexte a changé : ce n’est pas seulement le pouvoir d’attraction de l’emplacement ou les caractéristiques du bien qui jouent, mais plus que jamais le déséquilibre entre l’offre et la demande. Alors que l’on pouvait croire que la crise sanitaire remettrait acheteurs et vendeurs sur un pied d’égalité, la Covid-19 a eu l’effet inverse. D’un côté, les acquéreurs sont toujours aussi motivés à l’idée de déménager. De l’autre, le stock de biens se tarie et peine à se renouveler, tandis que le marché du neuf peine plus que jamais à régler la tension immobilière dans les grandes villes. 

Le crédit immobilier toujours attractif

Qu’en est-il du crédit immobilier ? Si les établissements prêteurs se montrent sélectif à l’invitation du Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), ils continuent néanmoins de proposer des taux incitatifs pour encourager les Français à emprunter. En effet, les taux d’emprunt demeurent attractifs (1,23% en moyenne dans l’ancien en septembre d’après l’Observatoire Crédit Logement/CSA). Hormis les ménages modestes dénués d’apport personnel et les professions libérales impactées par la crise économique de la Covid-19, décrocher un prêt immobilier demeure réalisable pour une majorité de foyers présentant des revenus stables et disposant d’un apport. En revanche, les banques doivent toujours suivre les recommandations du HCSF qui interdit l’octroi de crédit immobilier lorsque le taux d’endettement dépasse les 33%. Interdiction également d’accorder des crédits dont la durée d’emprunt dépasse 25 ans. Faire appel à un courtier en crédit immobilier est donc plus que jamais nécessaire. Il optimise le dossier d’emprunteur, négocie le meilleur taux d’emprunt et s’assure de la bonne compréhension de l’offre de prêt. Son accompagnement se poursuit jusqu’au déblocage des fonds.

Posté le 27 Octobre 2020 © Guide du crédit

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