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Assurance emprunteur : les 3 pièges à éviter

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Lorsque l’on souscrit un prêt – notamment un prêt immobilier, l’assurance emprunteur tranquillise le souscripteur (et la banque) lorsqu’il s’agit de faire face à un problème de revenus qui pourrait compromettre le remboursement de l’emprunt. A condition de choisir la bonne formule et ne de pas rentrer dans la case "exclusions".

 1. Veiller à choisir une prise en charge complète et adaptée

Il est important de vérifier que les garanties d’une assurance emprunteur sont complètes. Ainsi, il faudra vérifier que les assurances invalidité et décès sont bien comprises et qu’elles couvrent bien la totalité de l’échéance de votre prêt. Ces assurances vous assisteront dans le règlement des mensualités en cas de problème (santé ou accident) conduisant à une perte de la capacité de travailler (partielle ou totale). 

Il est aussi important de vérifier les délais de carence, afin de ne pas être désavantagé. Le niveau de prise en charge doit aussi être étudié. Il est aussi important de bien vérifier les garanties optionnelles de votre contrat : il faut sélectionner les plus adaptées à votre cas. Si vous n’êtes pas salarié, l’assurance perte d’emploi est inutile !

 2. Trancher entre calcul sur le capital initial ou restant dû ?

Vos cotisations peuvent être calculées selon deux méthodes : sur le capital restant dû ou sur le capital initial. Sur le capital initial, vos mensualités seront fixes, au contraire du capital restant dû - celui-ci étant normalement de moins en moins élevé. Il est donc important de vérifier la base du calcul du coût des cotisations. Généralement, les banques proposent un calcul sur le capital initial. Les assurances individuelles dans le cas de délégations d’assurances présentent un calcul sur capital restant dû ; mais rien ne vous empêche de sélectionner le mode qui vous convient.

 3. Bien baliser les indemnisations et se renseigner sur les exclusions

Il faut bien liire son contrat avant de le signer et plus particulièrement le chapitre concernant les exclusions. En effet, pas d’indemnisation si votre problème correspond à un des éléments indiqués. Par exemple dans le cas d’une assurance invalidité, une tentative de suicide entrainant un handicap ne sera pas acceptée.

Le remboursement peut se faire de deux façons : forfaitaire ou indemnitaire. Dans le premier cas, l’assurance prend le relais pour régler vos mensualités – en cas de perte de travail dû à un handicap par exemple. Le montant de la couverture est fixé dès la signature et ne changera pas. Il est généralement indiqué en pourcentage. L’avantage de ce type de remboursement est qu’il a lieu même si vous percevez des prestations sociales. Le remboursement indemnitaire va lui prendre en compte les revenus - et prestations - que vous touchez, mais aussi la baisse de salaire subie. Toutefois si vous percevez des aides couvrant la totalité de vos frais, vous ne toucherez rien. Le remboursement forfaitaire est donc plus avantageux.

Posté le 24 Juillet 2018 © Guide du crédit

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