7 ans | 10 ans | 15 ans | 20 ans | 25 ans | 30 ans | |
Tendance | ||||||
Taux min | 0,50 % | 0,70 % | 0,90 % | 1,10 % | 1,35 % | 1,95 % |
Taux moyen | 1,05 % | 1,20 % | 1,45 % | 1,65 % | 1,90 % | 2,55 % |
Taux max | 2,05 % | 2,10 % | 2,35 % | 2,70 % | 2,85 % | 3,35 % |
7 ans | 10 ans | 15 ans | |
Tendance | |||
Taux min | 0,50 % | 0,70 % | 0,90 % |
Taux moyen | 1,05 % | 1,20 % | 1,45 % |
Taux max | 2,05 % | 2,10 % | 2,35 % |
20 ans | 25 ans | 30 ans | |
Tendance | |||
Taux min | 1,10 % | 1,35 % | 1,95 % |
Taux moyen | 1,65 % | 1,90 % | 2,55 % |
Taux max | 2,70 % | 2,85 % | 3,35 % |
Taux fixes hors assurance relevé le 04/01/2017, comparés par rapport au 05/12/2016
Analyse faite au 04-01-2017
L'année 2017 démarre avec des hausses de taux de prêt immobilier. Mouvement amorcé dès décembre 2016, la remontée des taux immobiliers prend une nouvelle allure ce mois-ci. De nouvelles augmentations sont effectuées par des banques nationales et régionales. Sur 35 barèmes, 32 sont en hausse, 2 sont stables et 1 est en recul 1 centimes.
Pour réaliser un projet immobilier en janvier 2017, les conditions de prêt restent très favorables aux emprunteurs. Les taux d'emprunt s'établissent à des seuils toujours record. Les banques augmentent leurs barèmes de taux moyens de 5 à 10 centimes.
Les taux mini (taux d'intérêt accordés aux meilleurs profils) affichent :
Les taux moyens s'élèvent à :
Après une année 2016 exceptionnelle rythmée par des baisses de taux de crédit immobilier, l'année 2017 devrait donc rester positive pour les acquéreurs qui souhaitent acheter. De plus, les dispositifs de l'Etat pour l'aide à l'acquisition (Prêt à taux zéro), à la rénovation (Crédit d'impôt pour la transition énergétique et éco-ptz) ou à l'investissement locatif (loi Pinel et Censi-Bouvard) sont reconduits.
Une bonne nouvelle pour les acheteurs et investisseurs qui pourront profiter de taux bas et d'enveloppes de financement à taux zéro ou d'avantages fiscaux (Pinel, CITE et Censi-Bouvard).
La remontée des taux immobilier est pour l'heure mesurée. Par exemple pour un crédit de 100 000 euros : s'ils augmentaient de 50 centimes, la mensualité du prêt augmenterait de 23 euros. Un impact plutôt limité qui ne devrait pas freiner les désirs de propriété des ménages, dans le cas où les prix immobiliers resteraient sages...